La boucle du Mont Méla

Cette petite randonnée variée vous offre des belles vues sur les montagnes autour de Mélagues. Vous montez par la Caral, passez par les fermes de Cayourtes et des Planquettes et retrouvez Mélagues par le sentier que les enfants empruntaient dans le passé pour aller à l’école.

Distance : 5 km

Durée à pied : 2 heures

Difficulté : facile

Dénivelé : 221 m

Départ/Arrivée : la mairie de Mélagues

Départ de la mairie de Mélagues. Suivre la D52 au nord/ouest, après la vierge tourner à droite. Suivre les traces bleues. Après tourner à gauche, continuer sur ce sentier, appelé “la Caral”, pendant 2 km ; à mi-chemin admirer la croix en fer à votre gauche.

A la bifurcation, tourner à droite en quittant le balisage bleu. Laisser les maisons de Cayourtes à votre gauche et continuer. Traverser le ravin de Cayourtes et le ruisseau des Fragues.

Après 2 km arriver aux Planquettes-hautes ; à la bifurcation, tourner à droite. Aux Planquettes, tourner à droite et traverser ce petit hameau. Suivre les marques jaunes pour redescendre à Mélagues. Dès que vous aurez trouvé le petit ruisseau suivez-le et poursuivez par le sentier des écoliers.

Rester à gauche et retrouver la mairie de Mélagues.

plan-mont-mela

Point de vue Marcou

Un balcon sur la mer.

D’un pas léger, toujours égal, en bout de côte le promeneur sortant, au col de Thalis est ébloui ; le soleil inonde le plateau… La petite route en lacets l’entraîne alors vers Marcou : ferme accrochée, levée au creux de la montagne qui semble la protéger, véritable terrasse dans la nature…

Le promeneur se délecte : le regard ravi embrasse le tableau naturel qui lui est offert, partant à l’Est du Mont Aigoual… en large éventail, suivant au Sud la ligne scintillante de la Méditerranée, floue, brumeuse par temps chaud, sec… bleu azur par temps clair, presque bleu marine la vieille de jours pluvieux : véritable baromètre…! Lorsque la nuit tombe, apparaît l’étalement de lamparos des chalutiers s’élançant vers leur lieu de pêche ; le phare d’Agde clignotant, le Mont Saint-Clair où reposent Paul Valéry et Brassens notre chanteur poète…

Le regard posé sur ce grand livré ouvert se heurte alors à l’Ouest sur le Mont d’Espinouse dont la ligne si droite remonte de l’Hérault vers le Tarn…

Cadre haut en couleurs, si beau, si riche, nature splendide, magnifique horizon extrême et sans fond !

Histoire

On peut considérer que Mélagues connaît son apogée durant le XIXème siècle. A l’époque, la commune englobait les villages de Tauriac et Arnac séparés en 1872 et comptait environ 2000 habitants.

melagues-passage-du-boucher Les commerces foisonnaient également avec pas moins de trois hôtels-restaurants, deux laiteries mais aussi des commerçants ambulants (deux épiciers, un boucher, deux boulangers et un marchand de fruits et légumes). La commune avait son propre prêtre qui dirigeait les offices ainsi qu’une école avec une classe de garçons et une de filles. La fonction religieuse rythmait la vie du village, notamment avec la messe du dimanche.
Les exploitations agricoles étaient environ au nombre de trente. Elles étaient assez petites et pouvaient s’étendre sur une dizaine d’hectares avec un petit troupeau de brebis, un lopin de terre, un jardin potager auxquels venaient s’annexer les terrains communaux.

Les machines agricoles étaient encore rudimentaires. On utilisait la faux pour le melagues-ramassage-du-foin-a-la-fourchefoin, la faucille pour les céréales et on battait le grain avec un fléau. Les travaux étaient assistés par un attelage de bœufs ou de vaches. Par exemple, la ferme de Marcou était considérée comme relativement grande puisqu’elle s’étendait sur une trentaine d’hectares, sans compter les terrains communaux et le bois. De plus, elle comptait un troupeau de vaches, et un de brebis, autre preuve de richesse.

Pour les travaux exigeant une importante main d’œuvre comme la fenaison ou le battage, on faisait appel à des journaliers qui venaient de petits villages du nord de l’Hérault. On les payait rarement en argent. En échange de leur travail, ils se voyaient offrir quelques sacs de blé ou de pommes de terre.

Cette économie de troc avec l’Hérault s’effectuait aussi pour les produits agricoles de la montagne que l’on échangeait contre le vin ou le charbon du bassin houiller de Graissessac. En effet, les rapports marchands étaient beaucoup moins fréquents qu’aujourd’hui.

Présentation

La commune de Mélagues se situe à 685 mètres d’altitude dans la vallée du Nuéjouls. Elle se trouve sur le canton de Camarès, dans l’arrondissement de Millau et fait partie de la communauté de communes du Rougier de Camarès.

au-centre-de-melagues
Mélagues compte 70 habitants: les Mélagais. La plupart habitent dans les fermes autour. Le superficie est 44,51 km².

La commune est limitrophe de la ligne de partage des eaux Méditerranée – Atlantique; les eaux de surface de la Nuéjouls vont à l’Atlantique, leurs eaux d’infiltration vont à la Méditerranée.

La commune de Mélagues:melagues-dessin

Le village

Les hameaux: Labiras, St Pierre des Cats, Rials

 

Les fermes: Le Berthalays, Bobes, La Bonellerie, Cartayrade, Cayourtes, La Daguette, Fanjaud, La Lande, Marcou, Le Méjanel, Les Planquettes, Raunier, La Vayssède

Mairie

mairie-de-melagues

Le Bourg, 12360 Mélagues

tél : 0565995303

fax : 0565995348

mairie@melagues.fr

 

Permanences de la Mairie :

Sylviane ALINAT, secrétaire : le mardi de 9h à 14h en continu.

Jean MILESI, maire : le samedi de 15h à 17h : A noter : en raison des obligations ponctuelles du maire, les permanences du samedi peuvent ne pas être assurées. En cas d’urgence, laisser un message sur le répondeur de Jean MILESI, au 0565995176

Gîtes de Cartayrade

bergousPour les amoureux de la nature nous avons trois gîtes, une petite roulotte et une tente Safari à louer, située dans un parc naturel, à la frontière de l’Aveyron et de l’Hérault. Les gîtes sont dans une vallée couverte de sapins et de châtaigniers, près d’une ferme du XVlle siècle et d’une chapelle.

Le paysage est parfait pour des randonnées, du v.t.t. ou pour se détendre se reposer ou lire sur la terrasse ou à côté de la piscine.

 

Bergous : (1 au 2 p) infoc1

Bergans : (1 au 2 p) info

La Voûte : (1 au 3 p) info

Tente Safari : (1 au 6 p) info

La petite Roulotte: (1 au 2p)

voute

Prix par semaine, incluant la literie et la taxe de séjour :

Gîtes : en juillet et en août – 400€

les autres mois – 285€ par semaine ou 45€ par nuit

Tente Safari : en juillet et en août 600€

les autres mois 375€ par semaine ou 60€ par nuit

La petite Roulotte: en juillet et en août – 50€ par nuit+petit déjeuner

les autres mois 40€ par nuit+petit déjeuner

tente-safari

Plus d’informations :

Hendrik et Dorine Brakel

Cartayrade, Rials (Mélagues)

34260 Avène (adresse postale)

12360 Mélagues (adresse officielle)

0685362074 & 0685362074 info@cartayrade.com

www.cartayrade.com

Poésie

Poème de Yolaine Vayssières

            

Rêve

Sur notre planète si belle

La nature resplendissante

Le ciel de nuit étincelle

Les océans d’eau miroitante

L’Homme rêve…

Près d’un lac au miroir d’argent

Où se reflètent les nuages

A grands cris vers le firmament

S’envole un groupe d’oies sauvages…

Est-ce un rêve ?

En volutes bleues et légères

Les fumées se dispersent au vent

Créant un voile transparent

Au-dessus des vieilles chaumières…

Alors … Pourquoi

Pourquoi sur la planète bleue

Où tout est splendide, tranquille,

Pourquoi la haine dans les villes

Et les guerres sous tant de cieux ?…

Et c’est pourquoi

L’Homme rêve de joie de vivre

Rêve, sérénité sublime

Pourquoi le monde court l’abîme

Alors que le bonheur délivre ?

Ce n’est qu’un rêve…

Pour faire cesser tant de larmes

Pour que nos enfants soient heureux

Que le soleil brille en leurs yeux

Rêvons d’un univers sans armes…

Rêvons toujours…

 

 

 

Cyber-base

Depuis 1999, la mairie de Mélagues abrite la Cyber-base qui offre aux habitants et aux gens de passage un accès à Internet ainsi qu’à de nombreux programmes informatiques.

La Cyber-base vous offre :

  • internet
  • imprimer, copier,
  • photos : imprimer, retoucher, scanner, numérisation à partir des phototypes
  • plastifier
  • bibliothèque gratuite (pièce d’identité nécessaire)
  • vente des guides de randonnées, cartes postales, calendrier

Abonnement (1 an)

  • adulte 15€
  • couple 25€
  • famille 30€
  • mineur 10€

ou 1€ de l’heure

cyber-base Les horaires :

mardi 13h – 17h,

mercredi 13h – 17h

jeudi 13h – 17h

05.65.99.54.10 mairie.melagues@orange.fr

Nouvelles

Le temps du mois
Mois de transition entre l’hiver et le printemps, mars, le plus souvent, hésite
entre deux attitudes contradictoires : donner congé à l’hiver et sa froidure, pour accueillir le retour délibéré des beaux jours.
Cette ambiguïté se traduit par des giboulées, ou de courtes périodes, dans la
même journée, où le soleil succède sans transition à l’averse, quand ils ne cohabitent pas dans les mêmes régions du ciel.
D’où l’origine de cette ancienne comptine, qui personnalise leur combat :
« Il pleut, il fait soleil :
Le diable bat sa femme
A grands coups de bâton :
Le diable est un polisson ! »
Laissons la femme du diable s’abriter sous son parapluie, pour nous souvenir
que c’est en mars (le 20 ou le 21) que se produit l’équinoxe de printemps, ce partage équitable où le jour et la nuit atteignent la même durée : et le jour poursuivra sa croissance jusqu’au solstice de juin, date à laquelle la nuit prendra sa revanche jusqu’à l’équinoxe de septembre, qui l’acheminera vers son triomphe de Noël. Merveilleux équilibre de ce mouvement perpétuel qui joue en sens inverse dans l’hémisphère sud, et que nous devons à la légère inclinaison de la terre sur son axe médian par rapport au soleil.
Or, cette année, nous n’avons pratiquement pas eu d’hiver. Un indice
supplémentaire du dérèglement de notre climat. Il serait sans doute trop simple de l’expliquer par l’adage de la tradition populaire occitane :
Crentés pas l’annado dé bissex, crento la d’avan ou la d’après !
(Ne crains pas l’année bissextile, crains celle d’avant ou celle d’après!)
Car la seule année bissextile doit être exonérée de tout ce que subit « le monde comme il va ».
Les élections municipales
A Mélagues, nous attendions la présence de deux listes concurrentes. En fin de compte, une seule s’est présentée aux suffrages des citoyens. Voici les résultats :
Inscrits : 90
Votants : 65 soit 72,22 % des inscrits
Exprimés : 64 soit 71,11 % des inscrits
Blancs /nuls : 1 (une enveloppe sans bulletin)
Résultats individuels
VOIX Pourcentage des exprimés
Pourcentage des inscrits
Dorine AALBERS 52 81,25 57,77
Éloi ALBET 51 79,68 56,66
Cédric GASTINES 52 81,25 57,77
Éliane GASTINES 53 82,81 58,88
Sylvain MANIBAL 53 82,81 58,88
Jean MILESI 48 75 53,33
Francette RUIZ 51 79,68 56,66
Toute la liste a été élue au premier tour. Il y a eu 45 bulletins portant liste entière, ce qui suffisait largement pour une élection (majorité absolue pour 64 suffrages exprimés =33).
Cette très brillante élection appelle quelques commentaires :
1/ Les votes ont été très groupés, avec un écart maximal de 5 voix
2/ Le vote est homogène : les 3 candidats nouveaux ont été aussi bien élus que les anciens
3/ Le pourcentage obtenu par rapport aux inscrits (qui vous est donné à titre
indicatif) est supérieur à la majorité absolue, ce qui confirme que toute la
population est bien représentée (même ceux qui n’ont pas voté)
4/ Il manque une dizaine d’électeurs qui n’ont pas voté cette fois-ci, pour divers empêchements liés aux circonstances ; par contre, une quinzaine d’autres n’a pas voté depuis plusieurs scrutins successifs
5/ La palme du civisme revient à plusieurs électeurs venus d’assez loin (Lodève, Béziers) spécialement pour le vote, ou à d’autres ayant tenu à compenser leur absence par des procurations (sept au total)
6/ Les dix-neuf bulletins comportant des noms radiés ont démontré une grande diversité, ce qui rétablissait un certain équilibre. Pour une fois, la règle qui veut que le maire sortant soit le plus radié a été respectée, mais dans une
proportion qui n’est pas significative.
On a donc quelque raison de supposer que ces radiations sont dues, comme
disait De Gaulle, à la minorité de« ceux qui font cuire leur petite soupe sur leur petit feu », sans prendre en considération l’intérêt général. L’égoïsme a encore de beaux jours devant lui.
Intérim
Là-dessus est survenue, le jeudi 19 mars, la limitation des réunions, entraînant
l’impossibilité de convoquer le nouveau conseil, pour l’élection du maire, de l’adjoint et des commissions. Dans ces circonstances, les pouvoirs du maire sortant sont prorogés jusqu’à l’élection de son successeur. Mais ceux des anciens conseillers municipaux ont pris fin le jour du scrutin. Et le nouveau conseil, ne pouvant se réunir, n’est pas entré en fonction.
Résultat : nous avons aujourd’hui, en France, plusieurs milliers de petits
dictateurs – tous les maires sortants, réélus ou battus, dont le mandat est prorogé jusqu’à ce que les conseils puissent se réunir, pour confirmer les anciens ou introniser les nouveaux. Cela doit durer jusqu’à la fin du confinement. Mais le pouvoir dictatorial est, heureusement, limité dans l’étendue comme il l’est dans le temps. Tandis que les nouveaux chefs de file rongent leur frein, les maires prorogés n’ont que le pouvoir d’expédier les affaires courantes, à savoir payer les salaires et les dépenses de fonctionnement. Ils n’ont aucune compétence, ni aucun budget, pour lancer de
nouveaux projets en 2020. D’où une situation bloquée, qui va entraîner, comme conséquence, des délais importants. En particulier pour la communauté des communes, dont le président ne peut pas être élu tant que tous les maires des communes membres ne le sont pas. Et les communes ne peuvent élire leur maire que quand leur conseil est au complet. Il faut donc, d’abord, attendre le 2ème tour, notamment pour Brusque ainsi que Peux et Couffouleux.
En attendant, je salue avec plaisir, parmi tous, l’élection au premier tour de deux collègues, et de leur liste : Fernande Singer, d’Arnac, dont les électeurs ont résisté à la propagande tout azimut d’une adversaire forcenée ; et Patrick Rivemale, de Montlaur,dont la population a déjoué les tentatives concurrentes d’instaurer une dynastie municipale, ce qui, dans un État républicain, est un contre-emploi absolu. En fin de compte, il peut y avoir une morale en politique : la clarté et l’honnêteté ont parfois leur récompense.
La nouvelle peste

Nous voici donc aux prises avec ce nouveau fléau : le coronavirus. Comme toutes les situations comparables, vécues au cours de notre histoire, il joue le rôle d’un éclairant révélateur de tous les aspects de notre société, et nous invite à un sérieux examen de conscience.
Il semble, en particulier, avoir convaincu notre président des inconvénients
dirimants de la mondialisation ultra-capitaliste, et du péril mortel d’inféoder l’État aux diktats aveugles du marché. Je salue les intentions qu’il a manifestées de restaurer la cohésion nationale, laquelle dépend d’une régulation assise sur l’égalité de tous devant les services publics essentiels : l’école, la santé, le travail partagé, le soutien aux plus faibles. De même, pour le nouvel élan à donner à notre tissu industriel, et au savoir-faire
des entreprises françaises.
J’espère que cette crise le convaincra définitivement que le ruissellement
automatique de la richesse sur les pauvres est une totale aberration. Aujourd’hui, la Bourse est en baisse : et les hyper-capitalistes se frottent les mains. Ils rachètent en masse, à des prix effondrés, des milliers d’actions dévaluées, qu’ils revendront au prix fort dès que la Bourse remontera. Et ils auront spéculé pour des milliards sur les malheurs du temps.
Puisse l’Europe « unie », la nôtre, en prendre de la graine, et s’efforcer de devenir enfin cette harmonieuse « Europe sociale » que nous appelons tous de nos vœux.
Confinement il y a : respectons-en toute la rigueur, tous tant que nous sommes.
Car il est impossible de ne confiner que les cons finis, les « fortes têtes » au
cerveau déficitaire, absolument dignes d’être comparées aux « socialistes carmausins » – tout pour moi, rien pour le voisin … Je voudrais bien ne pas revoir cette scène, vécue au cours des années quatre-vingts, dans un supermarché de Bédarieux : deux mémés bédariciennes, largement en âge d’avoir des soucis avec leur diabète, se disputant physiquement un sac de cinq kilos de sucre en poudre, chacune tirant de son côté. Le sac a fini par se rompre, et le sucre est tombé sur le carrelage, foulé aux pieds par les
chalands. Pourquoi ? Parce qu’il était bruit d’une guerre au Proche-Orient, dans laquelle la France n’était en rien impliquée. Que faire ? Ni l’intelligence, ni la solidarité ne se trouvent en supermarché.
J’ai été très sensible à la fraternisation des Italiens, ces concert improvisés de
balcon à balcon, et à cet appel, lancé sur internet par un jeune ténor, à l’issue de son répertoire : « Ne faites plus la guerre ! Plus la guerre ! Chantez, vivez, soyez heureux ! »
Ces paroles positives et courageuses méritent d’être prises en compte. Et j’ai relu, ces temps-ci, La Peste, d’Albert Camus. Publié en 1947, ce roman n’a rien perdu de son actualité. On y retrouve toutes les thématiques des événements que nous vivons le confinement, les stratégies d’égoïsme et de fuite, le courage, la lâcheté, l’héroïsme, l’humanisme, Dieu et l’absence de Dieu, la remise en question et le sens de la vie. Les livres de cette densité nous
ouvrent les chemins d’une véritable compréhension du monde. Lisez-le, et relisez-le !
Infos pratiques
Tant que nous le pourrons, nous garderons ouverts, à Mélagues, nos services publics :
– mairie : le mardi de 10 à 14 heures
le samedi de 15 à 17 heures
– cyber-base : les mardi, mercredi et jeudi de 13 à 17 heures.
Mes permanences habituelles sont maintenues, et je vous recevrai aussi sur rendez-vous
(06 84 78 99 92).
L’énigme du mois
Quelle ressemblance existe-t-il entre une autoroute et un accordéon ?
N.B. Si vous êtes membre de l’ANEM vous pouvez découvrir une autre similitude.
Les réponses exactes seront primées.

 

CHANT DU CŒUR
Je te revois au chant du coq sous le soleil
Courir au champ rose vermeil
Cueillir les fleurs pour les aimer
Ouvrir ton cœur et pardonner
La fin de chaque saison te paraît triste
Tu sais pourtant qu’une autre existe
Elle te tend la main et t’ouvre ses bras
Dans son regard tu te verras
Femme heureuse aux cheveux noirs
Au grand bonheur de ce départ
Tu laisseras le coq chanter
Et conjugueras le verbe aimer.
Brigitte

Diaporama

Entrée
Marcou neige
Neige
Les vaches de Pierrot
Chemin de Noël
Mirador
Vue sur Rascas
Lac de Rascas
La Tourelle
Vue sur Planquettes
Plateau de Cayourtes
Les Planquettes
Dagtenco
La fontaine
Panneaux
Chez Bru
Fleurs d'Adrienne

Concert “Les Baladins de la Placette”

En cette période festive, c’est une joie, pour tous les auditeurs, de retrouver les chants de Noël qui ont émerveillé notre enfance. C’est ce qu’a su faire magistralement, le samedi 17 décembre à 16 heures, la chorale “Les Baladins de la Placette”, à l’occasion du concert qu’elle a donné dans l’église de St-Pierre-des-Cats (commune de MELAGUES). Composée d’un petit nombre d’éléments, sur une base familiale, cette chorale a su enchaîner magistralement les Noëls classiques du répertoire français et européen, enrichis de morceaux célèbres, tels “la Nuit” de Rameau ou le “Signore delle cime”, un classique du répertoire italien.

Signe particulier : tous les éléments de cette chorale sont capables, et avec quel brio !, de chanter en duo ou en solo. Citons seulement les “Ave Maria” de Schubert et de Gounod, ou le “Minuit, chrétiens” qui ne manquait jamais d’ouvrir la célébration des trois messes de la Nuit de Noël : tradition prestigieuse que tous ceux qui l’ont vécue ont retrouvée avec émotion.

Discrète, cette chorale, qui existe depuis plus d’une décennie, mérite d’être découverte, ou retrouvée. Rendez-vous de principe est pris pour un nouveau concert à MELAGUES, qui, avec un autre répertoire, ravira les auditeurs, comme c’était le cas samedi, dans l’atmosphère recueillie de cette attente de la Nativité.

Contacts  :

Armand PIONA, le POUGET, 12430 AYSSENES

Tél : 0565743641

Email : lesbaladinsdelaplacette@wanadoo.fr